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Oralité positive

L’oralité alimentaire 

Les plaintes les plus courantes : sélectivité des aliments, refus d’aliments solides, difficulté à mastiquer.

 

L’oralité verbale.

Il s’agit par exemple des troubles de la parole, d’articulation de la parole, de la voix, venant parfois altérer le langage.

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La manifestation de difficultés alimentaires et langagières témoigne le plus souvent de dysfonctionnements de la langue et du voile du palais, organes clés de l’oralité alimentaire et verbale.

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Il nous reste à mieux évaluer l’organe lingual, « cette main qui goûte » et, par son raffinement gnoso-praxique et sa posture lors de la mastication des aliments et l’articulation des phonèmes, constitue une sorte de « Moi lingual » que nous tentons de normaliser dans nos pratiques orthophoniques à travers l’éducation gnoso-praxique orale précoce.

Image de kazuend
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« La bouche est mémoire »

Pour tous les patients dont la bouche a des maux qu’ils n’ont pu mettre en mots, il appartient aux acteurs de la rééducation de les aider à retrouver le plaisir de manger.

Plaisir de ressentir et d'échanger.

Avant même de mettre en bouche, nous pouvons simuler l’acte de manger, de boire, d’en imaginer le goût et le plaisir, d’en ressentir les bienfaits. Réaliser ensemble des « jeux » entre intention et action.

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L’olfaction est la fonction sensorielle majeure pour la reconnaissance et l’appréciation des aliments à tous les âges de la vie, il nous faut aider nos patients à aiguiser leurs sens de l’odorat dès leur plus jeune âge et à tous les âges de la vie pour accéder à la dimension émotionnelle de leur environnement.

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